Merci pour vos voeux de bonne année. Permettez-moi de vous offrir les miens en retour.
Peut-être ne vous rappelez-vous pas de moi. Je suis anciennement de Sherbrooke où je vous ai d'abord et surtout connue comme la mère d'I.., et la gentille grand-mère Françoise de L... et ?... que vous veniez garder de temps à autres. Ce n'est que bien plus tard que j'ai réalisé que vous étiez madame Kayler, celle que je lisais dans la presse.
C'est avec un énorme plaisir que j’ai découvert votre blog peu avant la fin de l’année. Ce matin, votre collègue Foglia rapportait que vous trouvez que votre blog n’est peut être pas assez lu . Sachez qu’au contraire, il y a peut être plusieurs personnes qui, comme moi, ne savaient pas comment communiquer avec vous. Il m’a fallu un certain temps pour apprendre à publier un commentaire.
Quoi qu’il en soit, je suis un fidèle lecteur de vos chroniques depuis plus de 20 ans (au moins) et si plusieurs lecteurs lisent les journaux en débutant par les sports, moi, c’était toujours par votre chronique que je débutait mes week ends. Je considère que vous m’avez appris l’essentiel en restauration, grâce à votre soucis du détail, votre absence de malice et votre ferme intention de faire œuvre d’éducation plutôt que de sensation, comme c’est trop souvent la règle maintenant chez ces chroniqueurs touristes qui sont légion. Vos avis judicieux m’ont toujours guidés dans un désir d’apprendre davantage dans ce domaine.
Je souhaite que de plus en plus de lecteurs et amateurs de gastronomie découvrent votre blog.
2 commentaires:
Bonjour,
Je suis content de vous retrouver ici.
Merci pour vos voeux de bonne année. Permettez-moi de vous offrir les miens en retour.
Peut-être ne vous rappelez-vous pas de moi. Je suis anciennement de Sherbrooke où je vous ai d'abord et surtout connue comme la mère d'I.., et la gentille grand-mère Françoise de L... et ?... que vous veniez garder de temps à autres. Ce n'est que bien plus tard que j'ai réalisé que vous étiez madame Kayler, celle que je lisais dans la presse.
Michel B.
Chère Madame Kayler,
C'est avec un énorme plaisir que j’ai découvert votre blog peu avant la fin de l’année. Ce matin, votre collègue Foglia rapportait que vous trouvez que votre blog n’est peut être pas assez lu . Sachez qu’au contraire, il y a peut être plusieurs personnes qui, comme moi, ne savaient pas comment communiquer avec vous. Il m’a fallu un certain temps pour apprendre à publier un commentaire.
Quoi qu’il en soit, je suis un fidèle lecteur de vos chroniques depuis plus de 20 ans (au moins) et si plusieurs lecteurs lisent les journaux en débutant par les sports, moi, c’était toujours par votre chronique que je débutait mes week ends. Je considère que vous m’avez appris l’essentiel en restauration, grâce à votre soucis du détail, votre absence de malice et votre ferme intention de faire œuvre d’éducation plutôt que de sensation, comme c’est trop souvent la règle maintenant chez ces chroniqueurs touristes qui sont légion. Vos avis judicieux m’ont toujours guidés dans un désir d’apprendre davantage dans ce domaine.
Je souhaite que de plus en plus de lecteurs et amateurs de gastronomie découvrent votre blog.
sylvain lauzon
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