La bouffe, ce n'est pas bon. Que dire de la malbouffe!
"La malbouffe sera bannie de nos écoles"....Pour y parevenir, élminer les frites et les boissons gazeuses ne suffira pas. Les friteuses et les fours, c'est de la quincaillerie. Il faudra faire beaucoup plus que remplacer les unes par les autres. La question est plus profonde. Peut-être, faudrait-il penser à des programme d'éducation en nutrition, comme cela s'est fait dans les années '70, avec succès. Peut-être faudrait-il penser à des opérations d'éveil du goût à la maternelle et au primaire, comme cela se fait ailleurs et comme on tente de le faire, en ce moment, dans les Cantons de l'Est. On se trompe en pensant que la malbouffe, c'est des produits. Malbouffe est un terme péjoratif, synonyme de malnutrition.
Le mot a été inventé, en 1981, par Stella et Joël de Rosnay. C'est le titre d'un livre qui dénonçait un type d'alimentation trop riche en sucres, en gras, en calories vides et pauvre en nutriments. Il portait en sous-titre "comment se nourrir pour mieux vivre"
Bouffer est un terme très familier qui traduit une manière vulgaire de manger.
Bouffer, cela veut dire gonfler (on fait bouffer des jupes sur des jupons). Gonfler ses joues en mangeant..c'est bouffer. C'est à dire, manger gloutonnement. Le mot a pour synonyme, bâfrer. Ce qui n'a rien pour plaire..
On peut bouffer du prochain, bouffer des kilomètres, bouffer des briques quand on n'a rien à se mettre sous la dent ou....bouffer du fastfood.
La bouffe ne peut être qu'une mauvaise nourriture
lundi 17 septembre 2007
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1 commentaire:
C'est une vulgaire farce qui revient comme les vents froids de jours d'automne mornes et démoralisant.
Vivement les sparages pour montrer qu'on agit mais après?
Qui pourrait mettre au pilori c'est opérateur de caféteria qui tentent tout simplement à tirer leur épingle du jeu en offrant un choix , oui qui contient quelques fritures. Peux t-on les blâmer si on comprend qu'ils sont quand une entreprise à but lucratif. Peux t-on les blâmer quand tout autour des écoles pulluent ces chaines multinationales de toutes les couleurs on finiront par se réfugier les jeunes pour fuire les épinards de la cafeteria.
Il me semble qu'on a jamais gagner une évoltion des habitudes en utilisant les répressions si faciles à poser en faisant beaucoup de bruits.
Je déplore qu'on délaisse des activités comme les journées nationales dugoût en accordant que des broutilles de budget quand on pourrait utiliser ces périodes pour amener les jeunes à découvrir autre chose. Et pour l'avoir fait moi-même avec des milliers de jeunes du niveau primaire, les jeunes sont plus ouverts qu'on le croit. Laissons faire la croix et la bannière et vivement , comme le disaient Les compagnons de la chanson faisons la guerre en dentelle.
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